Il y a deux livres qui ont m’ont permis de beaucoup progressé (enfin j’espère) dans la gestion de mes sociétés.
Le premier a été ensuite très médiatiquement popularisé (qui a dit, titre raccoleur ? 🙂 ), il s’agit de la semaine de 4 heures à défaut de prendre comme philosophie les préceptes de son auteur, il permet d’envisager l’activité sous un angle d’automatisation maximale.
E-myth, la question d’une activité d’entrepeneur peut se résumer à : est ce que j’ai un business ou un job ? si je dois etre au four et au moulin 24/7 pour que les choses avancent, c’est que j’ai un job. Ce n’est définitivement pas l’objectif ‘entrepenur’, mais plutot celui de consultant. Conclusion : vendre des produits plutôt que son temps…
Si l’on veut rester à peu près seul maitre à bord, ce qui est mon cas pour le moment (plus par souplesse qu’ours-malléchaé-attitude 🙂 ), il faut sous traiter une partie de l’activité, et automatiser au maximum les interactions avec nos partenaires. En 2006 j’avais développé seo mioche tool (SMT) pour avoir un accès centralisé à l’état de mes sites. L’an passé, une nouvelle brique est en place avec le développement d’un CMS multisites afin d’avoir un acès centralisé à tous les nouveaux sites. Et enfin dernièrement des évolutions de SMT qui permettent de gérer en volume un portefeuille de noms de domaine et une petite admin php pour l’exploitation de Mydns (un concurrent de Bind, le plus célèbre serveur dns) basé sur un binaire et une base de données MySQL.
A terme, l’intégralité de mes sites web pourra être controlé à partir d’une unique admin ou il sera possible de gérer son cycle de vie complet. Il suffira ensuite de créer de nouveau projet, qu’un rédacteur off-shore pourra rédiger avant d’y ajouter un petit design pour sa mise en production.
Ce modèle même s’il n’est que partiellement en place de mon coté, permet déjà grandement augmenter le portefeuille de sites en production.
Une fois un site en place, il est a peu près complétement inutile en attendant du traffic. Pour cela une technique principalement usitée est celle du travail de référencement, mais c’est devenu de plus en plus long et compliqué pour amener un site dans le top d’une requête un peu concurentielle. J’avais un peu perdu la foi en début d’année devant le temps et les effort a fournir pour arriver a ses fins (je ne parle pas de positionner 1 ou 2 sites, mais bien des 10aines), heureusement, depuis 2 mois, je re-explore un espace que j’avais un peu laissé de coté, et qui semble plein de promesses…
à suivre…